PPSPS – Guide complet 2025

Mieux vaut prévenir que guérir – et sur un chantier, ce n’est pas une option ! Si vous êtes là, c’est que vous êtes bien placés pour le savoir 👷‍♂️.
Le PPSPS (Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé) est le document de référence qui encadre la sécurité, l’hygiène et la santé des travailleurs. Obligatoire dans de nombreux cas (Code du travail – article L.4532-9), il a un objectif clair : réduire les accidents du travail et les maladies professionnelles, notamment sur les chantiers du BTP où les risques sont les plus élevés.

Rédiger un PPSPS peut s’avérer chronophage, surtout lorsque l’on doit s’appuyer sur un Plan Général de Coordination (PGC). Il faut également comprendre lorsque ce dernier est obligatoire… Ou non !

Cet article est justement là pour ça. Vous aider à y voir plus clair sur le Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé : qui doit le rédiger, quel plan adopter, comment le créer… ? Autant de réponses à des questions que l’on se pose habituellement et qui vous permettront de vous faciliter la vie.

PS ⛑️🏗️ : Les modèles PPSPS que vous allez découvrir dans cet article sont volontairement adaptés à votre réalité terrain. Ils sont le fruit de notre expertise dans l’accompagnement des entreprises BTP… Électriciens, plombiers, couvreurs, à vous de choisir votre spécialité !

📅 Mise à jour 2025 – cet article intègre les dernières références réglementaires et bonnes pratiques validées sur le terrain.

Qu’est-ce qu’un PPSPS ?

Quelle meilleure entrée en matière que de commencer par la définition du PPSPS ? Alors voilà. Derrière ce sigle de 5 lettres se cache un document pratique destiné à évaluer les dangers professionnels auxquels s’exposent les collaborateurs sur un chantier. Dans le collimateur : les accidents de travail et les maladies.

Concrètement, il s’agit d’un document écrit qui analyse tous les risques professionnels auxquels vos équipes s’exposent pendant les travaux. Chutes de hauteur, accidents de manutention, exposition à des substances dangereuses… Le PPSPS identifie ces dangers et, surtout, définit comment les éviter.

Mais attention, on ne parle pas ici d’une simple liste de risques ! Le véritable intérêt du PPSPS, c’est qu’il va au-delà du diagnostic. Il détaille les moyens de protection nécessaires, les consignes de premiers secours et les mesures d’urgence à mettre en place. En gros, tout ce qu’il faut savoir pour que vos équipes rentrent chez elles en bonne santé chaque soir.

Les 4 piliers du PPSPS

Un PPSPS efficace s’articule autour de 4 axes principaux qui s’enchaînent logiquement.

• L’identification des risques forme la base du document. Elle consiste à analyser les dangers liés à votre activité spécifique, mais aussi à évaluer les risques de co-activité lorsque plusieurs corps de métier travaillent simultanément sur le même chantier.
• Les mesures de prévention découlent directement de cette analyse. Elles détaillent les Équipements de Protection Individuelle (EPI) obligatoires, les Équipements de Protection Collective (EPC) à installer, et les procédures de travail sécurisées à respecter.
• Les consignes d’urgence précisent qui appeler en cas d’accident, comment réagir face à une situation critique, et quelles sont les procédures d’évacuation et de premiers secours.
• Enfin, l’hygiène et la santé complètent le dispositif en définissant les installations sanitaires nécessaires, les mesures d’hygiène spécifiques au chantier et la prévention des maladies professionnelles.

Maîtriser ces 4 piliers, c’est être sûr de rien louper lorsque vous allez rédiger pour la première fois votre Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé.

Pourquoi le PPSPS est-il si important ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le BTP reste l’un des secteurs les plus accidentogènes de France. D’après l’Assurance Maladie, les manutentions manuelles représentent 48% des accidents (TMS, maux de dos…), les chutes de hauteur et de plain-pied 31%, et l’outillage à main 15%.

Le PPSPS n’est donc pas qu’une obligation légale, c’est un outil de protection concret pour vos collaborateurs. Et accessoirement, c’est aussi votre assurance en cas de contrôle de l’inspection du travail !

Pourquoi un PPSPS ?

Vous l’avez compris, la raison d’être du PPSPS est d’éviter la prise de risques. Celle qui est liée la co-activité d’un chantier, notamment lorsque plusieurs corps de métier cohabitent pour un même projet (une situation quasi systématique en cas de réponse à un marché public). Mais aussi, celle qui découle de l’exercice d’un métier dit à risque. L’arrêté du 25 février 2003 évoque plusieurs cas de figure (13 pour être exact) afin de qualifier ces « risques particuliers ».

Parmi eux, il y a notamment les « risques particulièrement aggravés, par la nature de l’activité ou des procédés mis en œuvre ou par l’environnement du poste de travail ou de l’ouvrage exposant les travailleurs » (comme les risques de chute de hauteur de plus de 3 mètres ou les risques d’ensevelissement). Vous voyez l’idée. Sinon, pour les plus curieux souhaitant avoir une vision globale sur tous les dangers types, on vous invite à parcourir l’intégralité des risques mentionnés par la loi ici. Go !

PPSPS vs PGCSPS : Quelle différence ?

Petite confusion fréquente qu’il faut éclaircir 💡 : le PGCSPS (Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé) est rédigé par le coordonnateur SPS et donne la vision globale de la sécurité sur l’ensemble du chantier.

Le PPSPS est lui rédigé par chaque entreprise intervenant sur le chantier. Il détaille comment votre entreprise va appliquer les mesures générales du PGCSPS à son activité spécifique.

En résumé : le PGCSPS, c’est le cadre général. Le PPSPS, c’est votre manuel d’application personnalisé !

Quand le PPSPS est-il obligatoire ?

Première chose rassurante : vous n’avez pas à vous creuser la tête pour savoir si un PPSPS est obligatoire ou non. C’est le maître d’ouvrage qui doit faire ce calcul et vous l’indiquer clairement avant même le début du chantier. Ouf 😅 ! Cela dit, comprendre les règles peut vous aider à mieux anticiper vos réponses aux appels d’offres. Et puis, on va se l’avouer, c’est toujours bien de maîtriser son sujet quand on discute avec un coordonnateur SPS !

Les 3 catégories qui déclenchent l’obligation

Le Code du travail (article L.4532-9) définit 3 catégories de chantiers pour lesquelles le PPSPS devient obligatoire. Le calcul se base sur trois critères : le nombre d’entreprises, la durée des travaux et le volume du chantier.

Catégorie 1 – Les gros chantiers : On parle ici des chantiers d’envergure : plus de 10 000 hommes/jours sur l’ensemble du projet, avec au moins 10 entreprises pour les opérations de bâtiment ou 5 entreprises pour le génie civil. Typiquement, les grands projets d’infrastructure ou les complexes immobiliers importants.

Catégorie 2 – Les chantiers de durée moyenne : Cette catégorie concerne les chantiers qui durent plus de 30 jours avec un effectif en pointe supérieur à 20 travailleurs, ou bien qui représentent un volume de travaux supérieur à 500 hommes/jours. C’est souvent le cas des projets de rénovation importants ou des constructions de taille moyenne.

Catégorie 3 – Les petits chantiers en co-activité :  Ici, on descend en dessous de 500 hommes/jours, mais avec au moins deux entreprises qui interviennent. C’est le cas le plus fréquent dans le quotidien des TPE/PME du BTP. Bonne nouvelle : pour cette catégorie, un PPSPS simplifié suffit !

PPSPS complet ou simplifié : la différence

Pour les catégories 1 et 2, pas le choix : il faut un PPSPS complet avec toutes les informations détaillées. C’est du sérieux !

Pour la catégorie 3, le PPSPS simplifié allège considérablement la charge de travail. Il reprend les éléments essentiels mais de façon plus concise. Moins de pages, moins de complexité, mais toujours la même exigence de sécurité.

Quelques exemples concrets pour y voir clair

PPSPS complet obligatoire : Vous êtes électricien sur la construction d’un nouveau lycée. Le chantier dure 8 mois avec 15 entreprises différentes. → Catégorie 1 ou 2 selon le volume.

PPSPS simplifié : Vous intervenez en plomberie sur la rénovation d’une maison, en même temps qu’une entreprise de carrelage. Chantier de 3 semaines. → Catégorie 3.

Pas de PPSPS : Vous réalisez seul la réfection complète d’une salle de bain. Aucune autre entreprise n’intervient. → Pas d’obligation.

Qui rédige un PPSPS ?

And the writer is… l’entreprise de travaux qui intervient sur le chantier ! Eh oui, c’est elle qui est chargée de rédiger son propre PPSPS. Chaque entreprise du chantier doit produire le sien, adapté à son activité spécifique.

Maintenant, au sein même de l’entreprise, c’est une autre histoire. On entend tout et son contraire sur le sujet : tantôt le Responsable Sécurité, tantôt le QSE, ou encore les animateurs sécurité.

Sauf que dans la vraie vie, seules les grandes structures peuvent se permettre d’embaucher de tels profils spécialisés. Pour la majorité des TPE/PME du BTP, c’est au conducteur de travaux ou au gérant que revient cette mission. Autrement dit… probablement vous !

Et c’est justement tout l’intérêt de bien comprendre comment s’y prendre pour rédiger ce document sans y passer des semaines.

Quoi mettre dans un PPSPS ?

Les informations générales (la partie facile !)

On commence par les informations administratives classiques : coordonnées de votre entreprise, nature du chantier, dates des travaux, intervenants principaux… En gros, le who’s who du projet. Jusqu’ici, rien de sorcier pour un professionnel du BTP !

Pensez aussi à mentionner vos sous-traitants éventuels et les moyens humains que vous déployez sur le chantier. Le coordonnateur SPS aime avoir une vision claire de qui fait quoi.

Les consignes de secours (la section vitale)

C’est ici que ça devient sérieux ! Cette section détaille les consignes en cas de premiers secours, les numéros à composer d’urgence, et les informations prioritaires à transmettre aux secours.

Vous devez également préciser le matériel médical disponible sur place (trousse de secours, défibrillateur…) et expliquer comment évacuer un blessé depuis votre zone de travail. Pas très réjouissant à imaginer, mais indispensable à prévoir !

L’hygiène et les installations (souvent négligée, toujours importante)

Cette partie liste les mesures prises pour assurer l’hygiène sur le chantier. Vestiaires, sanitaires, point d’eau potable… avec leur emplacement précis et leur date de mise en service prévisible.

Attention, ces informations sont souvent détaillées dans le PGCSPS, donc n’hésitez pas à vous y référer pour éviter de réinventer la roue !

Les mesures de prévention (le cœur du sujet)

C’est LA section centrale de votre PPSPS ! Elle identifie tous les risques liés à votre activité et détaille les mesures que vous mettez en œuvre pour les éviter ou les minimiser.

Risques de chutes pour un couvreur, électrocution pour un électricien, intoxication pour un peintre… À chaque métier ses dangers spécifiques. Mais n’oubliez pas non plus les risques d’interférence avec les autres corps d’état présents sur le chantier.

La règle d’or : partir de l’existant

Bonne nouvelle : vous n’êtes pas parti de zéro ! Trois documents vont considérablement vous faciliter la vie :

Le PGCSPS rédigé par le coordonnateur SPS contient déjà une bonne partie des informations générales sur le chantier. Coordonnées, zones de circulation, conditions de stockage… Autant d’éléments à reprendre intelligemment.

Votre Document Unique d’Évaluation des Risques (DUER) recense déjà les risques de votre activité et les mesures de prévention associées. Un excellent point de départ pour la section « prévention » de votre PPSPS.

Les PPSPS des autres entreprises (si vous pouvez vous les procurer) vous donneront une bonne idée des standards attendus et vous aideront à identifier les risques d’interférence.

Quel plan pour votre PPSPS ?

C’est la question à 100 € ! Nous avons mieux que cela puisque nous avons rédigé, pour vous, un PPSPS clés en main. Cerise sur le gâteau ? Il est prêt à l’emploi. La seule chose à faire étant de le personnaliser en fonction de votre entreprise et du chantier à réaliser.

Nos PPSPS sont tous adaptés aux différents métiers que l’on retrouve dans le BTP : gros œuvre (charpente, couverture, maçonnerie) et second œuvre (électricité, peinture, plomberie…). Ainsi, vous y retrouverez la liste des risques susceptibles d’être rencontrés dans votre secteur ainsi que les moyens de les minimiser.

Pour les plus réfractaires, nous avons également rédigé un exemple de PPSPS ✅.

Et pour ce qui est du plan, vous trouverez ci-dessous celui que nous utilisons au sein de nos modèles de PPSPS :

1. renseignements relatifs à l’entreprise utilisatrice
2. entreprises extérieures
3. consignes de premiers secours
4. circulation et stationnement sur le chantier
5. matériel mis à disposition
6. risques d’interférences et mesures de préventions
7. mesures opérationnelles contre la covid 19
8. les règles de nettoyage et désinfection
9. sensibilisation et communication
10. annexes 37

Bien évidemment, libre à vous de respecter, ou non, notre plan pour rédiger votre PPSPS.

Comment rédiger un PPSPS ?

On rentre dans le dur ! Rédigez un Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé n’est pas toujours chose aisé. Heureusement, il existe des éléments sur lesquels vous allez pouvoir vous appuyer pour rédiger votre PPSPS. On les liste ci-dessous 👇

Reprenez les modes opératoires du chantier

Commencez par détailler les différentes tâches prévues sur le projet en attribuant à chacune d’elles, les principes généraux de prévention. Eh oui ! C’est en identifiant les différents modes opératoires prévus que l’on est le plus à même de déterminer les risques générés par l’activité de l’entreprise mais aussi des autres structures participant au chantier. Prenez ensuite le temps d’indiquer la façon dont les travaux vont être réalisés et les mesures à prendre.

Appuyez-vous sur le PGCSPS

Le quoi ?  Le Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé ! Il s’agit d’un document écrit rédigé par le coordonnateur SPS.

Encore mieux : servez-vous du PGCSPS ! Ce Plan Général de Coordination en matière de Sécurité et de Protection de la Santé a été écrit par un coordonnateur SPS. Vous devriez donc y trouver un bon nombre de renseignements pouvant être repris en l’état comme

• Les informations sur le chantier : coordonnées, contexte…,
• Les travaux à réaliser sur le chantier,
• Les zones de déplacement ou de circulation,
• Les conditions de manutention des matériaux,
• Les zones de stockage, d’entreposage des matériaux,
• Les conditions d’enlèvement des matériaux dangereux,
• L’utilisation des équipements de protection individuels (EPI),
• Les mesures générales pour assurer le bon état du chantier…

Pensez-y : Le PGC SPS est un formidable outil pour vous aider à rédiger votre PPSPS !

Relisez votre document unique

Et n’allez pas me chercher des excuses et me dire que vous n’en avez pas. C’est obligatoire dès votre premier salarié ! Alors si ce n’est pas fait, pensez à le prévoir. Si vous avez un contrôle, vous pouvez être sanctionné… Vous trouverez au sein de votre DUER, le recensement des risques présents au sein de votre activité. Point important, vous y trouverez également les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des salariés de votre entreprise.

Télécharger nos modèles de PPSPS

On y revient ! Manque de temps, peur d’oublier des éléments ou de mal rédiger votre PPSPS ? Alléluia, il existe des documents prêts à l’emploi, décidément prêts à vous donner un sacré coup de main. À ce sujet, BTUP propose une trame à télécharger rédigée par des experts, testée en situation réelle pour chaque métier (électricité, peinture, plomberie, charpente, couverture…). De quoi faciliter l’écriture du dossier et vous guider dans les informations à y faire apparaître !

Parce que, soyons honnêtes, les documents façon Do It Yourself, c’est bien, mais la meilleure façon de gagner du temps, ça reste quand même les modèles pré-remplis qu’il suffit de personnaliser. D’autant que la paperasse a vite fait d’absorber une (trop) grande partie de notre temps de travail. Alors, finie la mer à boire, pour dresser la liste des mode opératoires d’hygiène, de sécurité et de santé sur un chantier, les risques prévisibles mais surtout les mesures de prévention, vous savez ce qu’il vous reste à faire ;).

Quand rédiger un PPSPS ?

Autre règle à connaître en matière de PPSPS : le timing ! En effet, c’est avant le début des travaux que ça se passe. La raison ? De façon à ce que le coordinateur SPS puisse l’approuver avant le début du chantier. Le délai exact ? 30 jours à compter de la réception du contrat signé par le maître d’ouvrage . Attention cela peut-être plus court ! Nous avons déjà vu des PPSPS devoir être établit en 8 jours pour des travaux de second oeuvre… Voilà, voilà.

Qui utilise et consulte le PPSPS ?

Le médecin du travail, les membres du comité social et économique ou encore les représentants de l’inspection du travail, voilà les principaux acteurs amenés à consulter le PPSPS. Normal, leur fonction a directement à voir avec la santé ou la sécurité. Raison de plus pour ne pas prendre la rédaction de cet écrit à la légère !

En bref, que faut-il retenir du PPSPS ?

Voilà, on a fait le tour ! Si vous avez suivi jusqu’ici, le PPSPS n’a plus trop de secrets pour vous. Mais au-delà de la théorie, retenons l’essentiel : ce document n’est pas qu’une contrainte administrative de plus. C’est votre assurance vie collective sur chantier.

Les 5 points clés à garder en tête : Le PPSPS est obligatoire selon la catégorie de votre chantier, mais c’est au maître d’ouvrage de vous le préciser. Vous n’avez pas à jouer aux devinettes !

Chaque entreprise rédige le sien, adapté à son activité. Dans une TPE/PME, c’est souvent vous qui vous y collez… mais avec les bonnes ressources, ça se gère.

Quatre sections incontournables : informations générales, consignes de secours, hygiène, et mesures de prévention. Cette dernière étant le cœur du réacteur.

Partez de l’existant : PGCSPS, DUER, exemples d’autres entreprises… Ne réinventez pas la roue !

30 jours maximum pour le produire après signature du contrat (parfois moins pour le second œuvre). Anticipation is the key !

Ici, petit conseil entre nous : un PPSPS bien ficelé, c’est un sérieux avantage sur vos concurrents. Les maîtres d’ouvrage et coordonnateurs SPS reconnaissent immédiatement les entreprises qui prennent la sécurité au sérieux. Résultat ? Moins de tracas administratifs, plus de confiance, et souvent… moins de contrôles.

Place à la rédaction du PPSPS

Maintenant que vous maîtrisez la théorie, place à la pratique. Si vous devez rédiger un PPSPS prochainement :

• Récupérez d’abord le PGCSPS auprès du coordonnateur SPS. C’est votre document de référence.
• Ressortez votre DUER pour identifier les risques spécifiques à votre activité.
• Adaptez selon votre métier : un électricien n’a pas les mêmes risques qu’un couvreur !
• Pensez co-activité : quels sont les autres corps d’état présents ? Quels risques d’interférence ?

Et si vous voulez vous simplifier la vie (et qui ne le voudrait pas ?), nos modèles PPSPS par métier vous font gagner 80% du temps de rédaction. Testés sur le terrain, validés par des coordonnateurs SPS, ils ne demandent qu’à être personnalisés selon votre chantier.

That’s it. Si vous avez tout lu, le PPSPS n’a plus de secret pour vous ;). Si malgré tout, il vous reste une question ou deux à nous poser, nous serions ravis de pouvoir échanger avec vous 🙂.